Benjamin Griveaux aujourd'hui :
Benjamin Griveaux hier :
ARGUMENTAIRE DE L'EDITEUR :
"Le modèle social français est menacé et la droite a trouvé les coupables. Les « assistés », volontiers décrits comme passant leurs journées à se prélasser devant un écran plat financé par leurs allocations, mettraient la république en péril !
Finie l’opposition entre travailleurs et chômeurs. C’est désormais le conflit entre les déclassés et les assistés, entre les working poors et ceux qui n’ont plus rien, que la droite instrumentalise. Quant à la gauche, elle se laisse – une nouvelle fois ? – dicter les termes du débat.
Élu de terrain et expert des questions sociales, Benjamin Griveaux veut faire un sort aux caricatures. Non, les bénéficiaires de minima sociaux ne gagnent pas plus en restant chez eux qu’en allant travailler. Non, la France n’est pas, et de loin, le pays européen le plus généreux avec les personnes défavorisées. Non, les étrangers ne débarquent pas par milliers pour bénéficier de notre système d’aides sociales.
Dénonçant le choix français de la pauvreté, il ouvre le débat sur la place des droits de l’homme pauvre dans une république construite autour de la solidarité et non de la charité. Il propose six mesures concrètes et inédites pour refonder notre État providence à bout de souffle. Et dessine ainsi les contours d’un « État d’investissement social » performant."
Élu de terrain et expert des questions sociales, Benjamin Griveaux veut faire un sort aux caricatures. Non, les bénéficiaires de minima sociaux ne gagnent pas plus en restant chez eux qu’en allant travailler. Non, la France n’est pas, et de loin, le pays européen le plus généreux avec les personnes défavorisées. Non, les étrangers ne débarquent pas par milliers pour bénéficier de notre système d’aides sociales.
Dénonçant le choix français de la pauvreté, il ouvre le débat sur la place des droits de l’homme pauvre dans une république construite autour de la solidarité et non de la charité. Il propose six mesures concrètes et inédites pour refonder notre État providence à bout de souffle. Et dessine ainsi les contours d’un « État d’investissement social » performant."
Benjamin Griveaux a 34 ans. Ancien élève de l’IEP de Paris et d’HEC, il est vice-président socialiste du conseil général de Saône-et-Loire et du Grand Chalon, et conseiller de la Fondation Jean-Jaurès sur les questions sociales.
PS : Monsieur Griveaux est le porte-parole d'un gouvernement qui visiblement privilégie un traitement "droitier" heu pardon... non "peu progressiste" du problème du chômage
PS2 : UNE CRITIQUE DU LIVRE DE BENJAMIN GRIVEAUX (le lecteur reconnaîtra l'idée d'un capital de lancement et d'une intégration par la sphère économique bien connue de ceux et celles qui fréquentent la prose isouienne, perspective qui semble contrarier le chroniqueur de Mediapart mais de tout cela il ne reste désormais pour LREM qu'une politique punitive d'acceptation à n'importe quel prix de n'importe quelle activité, pour pouvoir présenter des statistiques du chômage satisfaisantes, et le mépris pour ces gens qui "fument des clopes et roulent au diesel")
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