Partout, la misère nous tenaille
Notre peuple souffre mille maux
Mais nos cœurs tout prêts à la bataille
Feront naître des temps nouveaux
Par les routes inondées de lumière
Nous marcherons dans le jour nouveau
Dans le matin claquent nos bannières
Notre foi vit dans nos drapeaux
Notre peuple souffre mille maux
Mais nos cœurs tout prêts à la bataille
Feront naître des temps nouveaux
Par les routes inondées de lumière
Nous marcherons dans le jour nouveau
Dans le matin claquent nos bannières
Notre foi vit dans nos drapeaux
Par
une nécessité de vivre, des jeunes « nihilistes » poussent contre la
société des « machines infernales » qui détruisent les rites
productifs des hypocrites défenseurs de la société. Contre les souteneurs d’une
idée qu’ils se figurent éternellement
respectable (classe, patrie, monde) parce qu’elle leur permet de tenir le
pouvoir entre leurs pattes et parce qu’elle engraisse ! S’opposant à la
prétention lyrique de l’exaltant solitaire, des masses d’externes pressent le
« génie » de se présenter et de fouler la tradition.
Isidore isou
Le SOULEVEMENT DE LA JEUNESSE TOME 2
LA DYNAMIQUE DE LA CREATIVITE PURE ET DETOURNEE (1949 ) CICK 1971, page 57
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